Vernissage Alphabrick : un aperçu

Superbe expo Alphabrick avec dioramas en Lego et vernissage à la hauteur ! Bravo et merci aux membres qui se sont dévoués pour le stand de l’AMDA devant le musée, à l’abri de la pluie, mais pas de la fricasse !

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La partie officielle et l’apéro se sont déroulés à l’aula magna du château, ce qui n’était pas du luxe vu l’affluence. En effet, l’Espace Jules-Verne est devenu bien trop petit pour ce genre de manifestation. Après le discours du directeur Marc Atallah, le syndic Daniel von Siebenthal a rendu un bel hommage à l’AMDA en disant que c’est grâce à elle que le musée a été sauvé, en 1998. Il a aussi raconté sa première visite à la Maison d’Ailleurs, en 1976, dans le cadre d’une sortie scolaire. Il avait alors 16 ans et avait été impressionné par Pierre Versins, qui les avaient accueillis. Après lui, Anne-Catherine Lyon a souligné l’importance vaudoise, romande et même suisse du musée ainsi que la qualité des expos de Marc Atallah. Benjamin Carré a parlé plus en détail de ses œuvres, exposées dans le cadre de la nouvelle exposition. Enfin, Nicolas Fessler, représentant de l’association SwissLUG a annoncé qu’il s’agissait d’une double première pour eux : construire des maquettes et dioramas pour un musée et, en plus, en Suisse romande ! Il a révélé qu’ils ont employé 130’000 pièces de Lego pour réaliser ces œuvres.

Après, les visiteurs ont eu droit à un spectaculaire combat entre un Sith et un Jedi, d’abord à mains nues, puis au sabre laser. Puis chacun a enfin pu se ruer sur le buffet pendant que les enfants s’initiaient au maniement du sabre laser. Pas avec le robot sphérique lanceur de rayons laser du film, mais avec un maître Jedi qui leur tirait dessus des fléchettes en plastique. Il faut bien commencer quelque part…

Nouvelle exposition Alphabrick

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Alphabrick, la nouvelle exposition de la Maison d’Ailleurs ouvrira ses portes le 16 novembre prochain, pour ne les refermer que dans six mois. L’occasion de découvrir les déclinaisons en LEGO de différents univers phares de la science-fiction (et de la fantasy) comme Star Wars, le Mythe de Cthulhu de Lovecraft ou du Seigneur des Anneaux (enfin, du Hobbit, pour rester dans l’actualité…). L’occasion d’un regard croisé entre des artistes qui ont dessiné ces mondes (John Howe, Benjamin Carré…) et comment ceux-ci ont été bricolés à partir des petites briques mondialement connues.

Vernissage le samedi 15 novembre, avec le programme ci-dessous :

16.00 | Maison d’Ailleurs
Ouverture officielle des portes

16.00 | Caves du Château
Jeu-concours pour enfants :
« Jedi Academy »
« Timeline fantastique »
« Les 7 familles d’Hollywood »

18.00 | Aula Magna
Partie officielle et remise des prix

19.00 | Aula Magna
« Combat Jedi » :
démonstration de sabres laser
Partenaires : Ville d’Yverdon-les-Bains,
Xtrem Factory

19.15 | Aula Magna
Apéritif
Partenaires : Confiserie Schneider,
Cave des Viticulteurs de Bonvillars, La Semeuse

21.00 | Maison d’Ailleurs
Fin du vernissage

 

ZombieWalk à Yverdon

L’AMDA s’est associé à la ZombieWalk d’Yverdon pour le défilé de la Fête des morts le 1er novembre. L’occasion d’un joli défilé de mode qui se terminera par la projection du film Goal of the Dead au Bel-Air. Rendez-vous à 14h au parking du château !

 

Conférence : de l’être humain réparé à l’être humain augmenté

Une conférence organisée par Pro Infirmis en lien avec plusieurs organisations aura lieu 26 novembre sur le thème très science-fictionnel de l’être humain augmenté. Une approche du point de vue éthique, technologique et médical. Avec en clôture la projection du documentaire FIXED : The Science Fiction of Human Enhancement (2013).

De l’être humain réparé à l’être humain augmenté : quels impacts sur l’individu et la société ?

Conférence donnée le 26 novembre 2014 au SwissTech Convention Center (STCC) – EPFL – Lausanne. Inscription jusqu’au 3 novembre.

Exosquelette, main bionique, cœur artificiel, cerveau augmenté… Acceptée quand elle restaure des capacités perdues, la technologie questionne lorsque, franchissant le seuil de la réparation, elle améliore artificiellement les performances physiques et cognitives de l’homme, au-delà des capacités données par la nature.
La limite entre réparation et amélioration n’est pas nouvelle, mais l’accélération et l’ampleur des avancées technologiques actuelles imposent de nouvelles réflexions à la mesure des enjeux soulevés par les nouvelles connexions entre l’homme et la machine. Ces connexions hybridées sont directement intégrées à son corps et à son cerveau par l’utilisation des biotechnologies, nanotechnologies, sciences de l’information et sciences cognitives.
La question est alors de savoir si ces évolutions peuvent transformer ce que nous sommes, au plus intime, troubler notre personnalité ou notre identité et, en définitive, de toucher à ce qu’il y a d’humain dans l’homme. Des espoirs aux craintes, la conférence aborde une vaste problématique qui englobe aussi les questions économiques et sociales relatives à l’accès aux moyens auxiliaires issus des nouvelles technologies de réparation par les personnes handicapées et au financement de cet accès par les assurances sociales.
La conférence propose une réflexion interdisciplinaire accessible à tous, constituée par un exposé des fondements technologiques, éthiques et juridiques, accompagné d’éclairages anthropologiques, enrichi par les témoignages de personnes en situation de handicap et suivi d’une table ronde qui sera le lieu d’un vaste échange de vues. La conférence s’adresse ainsi à toute personne concernée ou intéressée par le développement et la mise à disposition des technologies permettant la restauration des fonctions déficientes, ainsi que, de manière générale, par l’impact que les avancées technologiques en ce domaine peuvent avoir sur l’individu et la société.

Programme :

  • 9h00 : Accueil – Enregistrement
  • 9h30 : Message de bienvenue
    Nicole Grin, Présidente de Pro Infirmis Vaud
  • 9h35 : Introduction
    Patrick Aebischer, Président de l’École polytechnique fédérale de Lausanne
  • 9h45 : État des lieux des innovations technologiques
    Grégoire Courtine, Professeur, International Paraplegic Foundation Chair in Spinal Cord Repair, Centre des Neuroprothèses, Brain Mind Institute, Faculté des sciences de la vie, École polytechnique fédérale de Lausanne, médecin associé au Centre hospitalier universitaire vaudois
  • 10h15 : Therapeutic technology through a Disability studies and ability studies lens (Les technologies thérapeutiques à travers le point de vue du domaine des Disabilty studies)
    Gregor Wolbring, Docteur en Disability studies et Professeur associé à l’Université de Calgary
  • 10h45 : Pause
  • 11h00 : Questionnements éthiques
    Alexandre Mauron, Professeur, bioéthicien, Faculté de Médecine, Université de Genève
  • 11h30 : Questionnements juridiques
    Charles Joye, Docteur en droit, avocat, Professeur remplaçant à l’Université de Lausanne / Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, membre du comité de Pro Infirmis Vaud
  • 12h15 : Lunch – buffet 
  • 13h15 : Démocratiser les sciences et les techniques : quel rôle pour les patients et les groupes concernés ?
    Alain Kaufmann, Sociologue et biologiste, Directeur de l’Interface sciences-société de l’Université de Lausanne
  • 13h30 : Technologies et handicap: entre promesses et réalité
    Daniela Cerqui, Maître d’enseignement et de recherche, anthropologue, Université de Lausanne
  • 13h45 : Paradigme de l’homme augmenté : quel impact auprès des personnes amputées ?
    Valentine Gourinat, Doctorante en éthique et en sciences de la vie, Université de Strasbourg-CNRS, Centre hospitalier universitaire vaudois, Université de Lausanne
  • 14h00 : Le point de vue du domaine du handicapIntroduction de la thématique selon le point de vue du domaine du handicap
    Benoît Rey, Chef du Département prestations de services Suisse romande et Tessin de Pro Infirmis, député au Grand Conseil fribourgeois

    Le point de vue des personnes en situation de handicap
    Benoît Thévenaz, Sportif d’élite
    Gérald Vouilloz, Ingénieur en robotique

    Quels progrès dans le domaine du handicap ?
    Philippe Weber, Chef de service, Pro Infirmis Vaud

  • 15h00 : Éclairage sur les modalités de financement des moyens auxiliaires
    Jean-Philippe Ruegger, Président de la Conférence des offices assurance-invalidité, Directeur de l’Office AI pour le Canton de Vaud
  • 15h15 : Pause
  • 15h30 : Table ronde
    Modération : Bertrand Kiefer, Rédacteur en chef de la Revue médicale suisse
  • 16h45 : Conclusion de la journée
    Adriano Previtali, Président du bureau de Pro Infirmis Suisse, Professeur associé en droit constitutionnel et en droit des assurances sociales à l’Université de Fribourg
  • 17h00 : Clôture de la conférence interdisciplinaire 
  • 17h15 : Diffusion du documentaire « FIXED: The Science/Fiction of Human Enhancement » de Regan Brashear, 2013 – Avec la participation du Pr Gregor Wolbring
    Minutes questions/réponses en relation avec le documentaire animées par le Pr Gregor Wolbring
  • 18h30 : Fin de la journée

Inscription :    Inscription obligatoire, via le formulaire online
Les inscriptions seront prises en considération dans leur ordre d’arrivée (nombre de places limité)
Prière de remplir le coupon d’inscription annexé au flyer ou de nous faire parvenir votre inscription en ligne sur ce site internet

CHF 40.-  – Entrée gratuite pour les personnes ayant une rente AI ou AVS – Entrée gratuite pour les  150 premiers étudiants – L’entrée comprend le buffet de midi

Parution : « CE », T.8 : Le Paradis perdu, de José Roosevelt

Peintre surréaliste, amateur de SF et dessinateur talentueux de bande dessinée.  Ca fait beaucoup, et pourtant ce n’est certainement que les facettes publiques de José Roosevelt. L’auteur lausannois d’origine brésilienne continue l’aventure fantastique de Ce, l’Immortel en quête de lui-même et de son passé. Ou peut-être simplement de réponses à toutes sortes de questions qui n’ont manqué de surgir au fil des volumes précédents.

Ce nouveau tome en révèle un peu plus sur la digression introduite dans le volume 7, véritable clé de voute de cette série qui en comportera 13. La nouvelle dimension prend sens et Ce, accompagné d’Alyss, va chercher à retrouver la trace de son frère Johan, mage polymorphe et concepteur informatique talentueux.

On peut dire que les nouvelles clés apportées à l’intrigue donnent toujours plus forme au monde de CE. Le tout dans un éclaircissement progressif qui ne manque pas de tenir le lecteur en haleine. On en dira pas plus, on se contentera de préciser que l’album est dédié à Druillet et que la référence se ressent au delà de la dédicace et bien jusque dans le dessin.

A ceux qui ne connaissent pas les série, on vous avertit : vous n’en ressortirez pas indemne… La quête surréaliste est aussi introspective. Dans sa quête de lui-même, Ce ne sait vraiment ce qu’il va trouver…

José Roosevelt, CE, T.8 : « Le Paradis perdu », édition du Canard, 2014, 64 pp.

Plus d’infos et quelques extraits sur le site de l’auteur : www.juanalberto.ch

 

Le Frankenstein genevois

Frankenstein, de retour… sur ses terres. Une statue commémorative du monstre du Dr Frankenstein a été inaugurée le 17 mai dernier, à Genève, sur la Plaine de Plainpalais. Une sculpture formée de 300 kg de bronze sculptés par le collectif genevois KLAT, dédié à l’art contemporain.

Et oui, Mister Frankenstein trouve ses nouveaux quartiers à Genève. Car comme le rappelle Samuel Schellenberg, du Courrier, «le père du monstre – et donc par extension sa création – était un scientifique d’extraction locale, comme le soulignent les premières phrases du célèbre roman de l’Anglaise Mary Shelley: «Je suis un Genevois de naissance. Et ma famille est l’une des plus distinguées de cette République.» Quant à l’ouvrage, il a été écrit à la Villa Diodati, à Cologny (GE), il y a (presque) 200 ans, durant l’été 1816 – pluvieux comme jamais.» L’oeuvre méritait donc bien une célébration au bout du lac, et sur une plaine utilisée dans l’action du roman (et plus accessible au public que la commune de Cologny).

La statue, placée dans ce quartier de grand passage, entre le skate-park, le marché et des grands boulevards, regarde le passant avec un air horrifique et des traits qui lui donnent un peu l’air d’un zombie, n’eut été les boulons près de son oreille. En l’absence de plaque explicative (dommage, une citation du livre aurait été bienvenue), pas sur que le chaland reconnaisse la référence…

Selon Michèle Freiburghaus, interviewée par S.Schellenberg: «L’œuvre est dédiée aux exclus et aux exilés, et rend hommage à la figure du vagabond et du marginal. Puisqu’il a été rejeté par son créateur, puis par la communauté des humains – en raison de son apparence et de la crainte qu’il inspire –, ce personnage questionne aussi les problématiques partagées par toutes les sociétés, de tous temps.»

Lire l’article du Courrier, « Frankie Superstar », 17 mai 2014.

 

Palmarès Nifff et George R.R. Martin

PALMARÈS NIFFF 2014

HOUSEBOUND – GERARD JOHNSTONE, NZ

Prix H.R. Giger «Narcisse» du meilleur film

BLIND – ESKIL VOGT, NO

Méliès d’argent du meilleur long métrage fantastique européen

THE MOLE SONG : UNDERCOVER AGENT REIJI – TAKASHI MIIIKE, JP

Prix Imaging The Future
meilleur production design

YASMINE – SITI KAMALUDDIN et CHAN MAN-CHING, BN

Prix du meilleur film asiatique

IT FOLLOWS – David Robert Mitchell, us

Prix du jury de la critique internationale

Prix de la Jeunesse Denis-de-Rougemont

WHAT WE DO IN THE SHADOWS – JEMAINE CLEMENT & TAIKA WAITITI

Prix RTS du Public

LOTHAR – LUCA ZUBERBÜHLER, ch

Prix HR Giger «Narcisse»
du meilleur court métrage fantastique suisse – Compétition SSA/Suissimage

Méliès d’argent du meilleur court métrage fantastique européen

pappkameraden – stefan bischoff & stephan wiki, ch

Prix Taurus Studio à l’innovation

 

Et pour ceux qui n’auraient pas eu la chance d’y assister, retrouvez ici la vidéo du Masterclass animé par George R. R. Martin

Les super-héros et la chaire à canon

Peut-être que ça ne vous a jamais frappé. Personnellement, il y a un point qui me marque à chaque fois que je regarde un film de super-héros (mais ça fonctionne aussi avec les bandes dessinées) : la place de l’être humain « standard ». Dans ces histoires, la séparation entre le héros et le reste de l’humanité est très nette. Il y a, si on schématise un brin, d’un côté celui qui sauve (avec plus ou moins de difficulté) la planète, de l’autre la demoiselle en détresse à secourir, la chaire à canon et des entraves humanoïdes diverses (méchants bandits, otages et autres).

Plus précisément, il existe semble-t-il une règle non écrite qui veut que, dans les histoires de super-héros (ou du moins une très large majorité) :

–         le héros est seul (parfois accompagné d’un faire valoir, ou d’autres super-héros, mais toujours coupé de la masse des gens normaux). Il y a lui d’un côté et le reste du monde, anonyme, de l’autre.
–         lui seul peut régler le problème (ou, là encore, avec ses amis supers-héros, ce qui revient au même). Ce qu’il affronte ne peut généralement être réglé que par ses pouvoirs.

Beaucoup ont pourtant fait remarquer l’identification qui s’opère entre le public avec le héros. On s’évertue aussi à montrer ses côtés « humains » – sa faiblesse, ses sentiments, etc. –  comme pour rappeler sa part d’humanité. On est d’ailleurs plutôt surpris d’apprendre (et le documentaire très bien fait en trois parties diffusé sur ARTE est très parlant là dessus) l’impact positif apporté aux soldats US par l’arrivée du comics Captain America, ditribué sur les lignes de front. On aurait pu craindre l’inverse : un regard objectif sur leur position leur aurait fait prendre conscience que leur propre rôle dans ces histoires tient surtout de la figuration. Captain America sauve l’Amérique, pas eux. Et il en va de même pour les Superman, Spiderman, Batman, X-Men et consorts.

On pourrait bien sûr montrer que dans telle ou telle histoire, un Monsieur ou Madame Tout-le-monde sauve notre héros d’un mauvais pas, mais ce n’est que pour lui permettre ensuite de les tirer eux de l’une ou l’autre catastrophe de plus grande ampleur.

C’est là que pourrait se trouver une différence intéressante avec la plupart des histoires de science-fiction « classiques ». Dans les récits de SF, les événements impliquent généralement très directement des gens du commun, des peuples, voire des planètes. Les héros existent, bien sûr, parfois même avec l’équivalent des supers-pouvoirs, mais ils sont généralement membres à part entière de ces groupes de personnes et n’agissent pas seuls (les contre-exemples abondent certainement et il serait intéressant de les mettre en évidence). Luke Skywalker par exemple – qui est un super-héros à sa manière – fait sa part, mais ne peut rien sans l’armée des rebelles. Ce n’est d’ailleurs pas lui qui détruit l’Etoile noire dans le final (bon, on pourrait argumenter en ne s’en tenant qu’à l’épisode IV…). De même que Paul Atreïdes n’est pas grand-chose sans ses Fremens. Les armées, les peuples ou des groupes divers jouent dans ces récits un rôle à part entière.

Héros inclusifs face à super-héros exclusifs, la différence est-elle là ? Le sauveur individualiste face au leader collectif ? Peut-être. La preuve la plus flagrante de ce point serait d’ailleurs la suivante : est-ce qu’une histoire de super-héros où celui-ci serait membre d’un groupe de gens commun (et se verrait continuellement aider par ceux-ci) serait encore considérée comme une histoire de super-héros ? Pas si sûr…

Mais difficile au final de reprocher aux histoires de super-héros de se centrer… sur les super-héros. Et tant pis pour ces braves gens qui se font zigouiller là, tout en bas à gauche de la page…   [VGR]

Expo Krum, encore

Alors que ses planches ont quitté la librairie Raspoutine, Krum se lance dans une nouvelle exposition-vente, dédiée cette fois-ci à son univers « Chronopolis« . Des tableaux grand format (50×70 cm), dessinés au crayon et marqué d’un imaginaire tendance steampunk/fantastique.


L’exposition se tiendra dès le 19 juin, en marge de Pictobello, à L’Atelier 20 /Rue des Marronniers 20, Vevey), lieu qui a d’ailleurs vu naitre ces illustrations en 2010. A noter pour les passionnés et les collectionneurs que vingt reproductions A2 de chaque tableau ont été numérotées et signées.

Le vernissage organisé le jeudi 19 Juin dés 18h en présence de l’auteur.

https://www.facebook.com/pages/Absurdostudio/80302557331

Programme de la Nuit des super musées le 7 juin

 

 

Dans le cadre de la Nuit des Musées d’Yverdon-les-Bains, la Maison d’Ailleurs (de même que six autres établissements de la ville) sera ouverte gratuitement au public entre 17 et 23h. Diverses animations sont au programme, en lien avec l’exposition actuelle consacrée aux super-héros :

  • 17h – 18h: David Boller, artiste suisse ayant travaillé pendant 20 ans aux USA pour Marvel et DC Comics dédicacera ses bandes dessinées, dont le premier comics suisse : « Tell ».
  • 17h – 18h: Des ateliers pour enfants seront organisés sur le thème des super-héros, en partenariat avec l’institution « Poisson Pilote ».
  • 19h – 20h: Une visite guidée de l’exposition « Superman, Batman & co … mics » sera offerte aux visiteurs.
  • 20h30 – 23h: David Boller nous fera une démonstration de ses talents de dessinateur en réalisant une performance de  Speed Painting.